Je remercie chaleureusement toutes les personnes qui ont accepté de partager ici leur expérience et d'une façon plus générale, toutes les personnes que j'ai accompagnées et qui ont choisi de me faire confiance.

« Cela faisait un peu plus de 4 ans que j’avais intégré mon entreprise actuelle, une petite PME familiale dont je connaissais le patron depuis longtemps, lorsque j’ai fait un burn-out. Les signaux précurseurs étaient là depuis bien longtemps : migraines régulières, névralgie d’Arnold avec des douleurs cervicales importantes, prise de poids, irritabilité, troubles du sommeil, et j’en passe… Mais il a fallu plusieurs mois après les alertes de mon entourage pour que je me rende à l’évidence. J’investissais tout ce que j’avais dans mon travail, ne comptait pas mes heures, répondait à des appels professionnels sur mon téléphone personnel et sur mes jours de repos, venait travailler en début de vacances pour clôturer des dossiers, restais tard le soir… Tout cela était très prenant mais le dépassement à vraiment commencé à mon retour de congé maternité. Je tentais d’être sur tous les fronts : productive au travail, maman investie et disponible autant que possible, épouse affectueuse, je ne laissais rien m’arrêter. Après un an de travail acharné, je sentais que j’étais de plus en plus fatiguée. J’enchaînais les erreurs dans mon travail, j’étais devenue irritable et bien moins patiente avec mon fils, qui n’avait rien demandé. Lorsque les insomnies se sont installées, j’ai tenté d’alerter mon patron, en vain, sur le fait que la situation ne pouvait pas perdurer.
Deux mois après, lors d’un déplacement professionnel, j’attrape une grippe qui me met dans un état pitoyable et qui me conduit chez le médecin dès mon retour. J’évoque mes troubles du sommeil, elle creuse immédiatement le sujet avec cette phrase : « Et au travail, ça va comment ? ». Je m’effondre en larmes, arrive à peine à aligner deux mots et tente d’expliquer que la situation actuelle me dépasse mais que je ne peux pas trop m’arrêter car j’ai actuellement beaucoup de travail et que je suis dans une toute petite entreprise. Elle sait alors que ça va être long, pas moi. Elle m’arrête 15 jours « pour commencer », le télédéclare pour être certaine que je le respecte et me fixe un nouveau rendez-vous. C’est à ce moment qu’elle me donne les coordonnées d’Isabelle. Ayant déjà suivi plusieurs thérapies, je l’appelle en me faisant la réflexion que je n’étais pas à « une psy de plus » mais avec l’envie de rebondir et d’aller mieux. Bien sûr, je ne me repose absolument pas pendant cet arrêt, je mets chaque jour à profit pour faire tout ce que je n’ai pas le temps de faire habituellement.  Au bout de cette première quinzaine, j’ai de multiples angoisses et je comprends alors que cela va être bien plus long que je ne l’imaginais. Mais nos séances me rassurent. Isabelle pose des mots simples sur mes maux du quotidien. Elle m’aide à me laisser « chuter », à me poser, pour mieux repartir. Nous évoquons le travail bien sûr et son organisation, les problèmes rencontrés mais nous travaillons aussi sur ce qu’il y a autour. Elle me permet de déconstruire des croyances fortement ancrées en moi, de reprendre confiance et me donne des clés pour avancer. Elle m’épaule autant que j’en ai besoin et nos rendez-vous deviennent mon espace refuge. Celui où je peux déposer tous mes sentiments, parfois pêle-mêle ou brouillons mais toujours accueillis avec bienveillance et sans jugement. Elle est encore lorsqu’après plus de trois mois d’arrêt, mon médecin décide avec précipitation qu’il est temps pour moi de retourner au travail. Elle me coache pour trouver une nouvelle place, m’aide à préparer ce retour à la hâte, un peu redouté. Nous débriefons par la suite ces premiers jours de reprise et une nouvelle fois, elle est d’excellents conseils pour m’aider à m’ajuster. Petit à petit, je reprends pied. Je travaille autrement, je trouve un nouvel équilibre plus confortable et carrément impensable quelques mois plus tôt. Je m’écoute, m’impose des temps personnels, retrouve le goût de la lecture, accède à un équilibre travail-famille-couple-vie sociale beaucoup plus sain. Jusqu’au jour où je me rends compte que cela va vraiment mieux. Je le sais, elle me l’avait dit au début, la thérapie n’avait pas vocation à être trop longue. Mais je suis rassurée car je sais que c’est moi qui donne le tempo. Pour me rassurer elle me donne encore un dernier rendez-vous, celui qui sera le dernier, celui où je pourrais encore demander quelques conseils, quelques astuces pour éviter de retomber. Merci pour tout ça, merci pour ce soutien sans jugement, pour vos mots toujours rassurants et bienveillants, pour votre considération. 
Et à tous : laissez-vous guider, la lumière est là, tout près, en vous. Il suffit d’écarter les nuages pour la trouver.
 »
Juliette, 29 ans, Conceptrice de cuisines

« Suite à une expérience professionnelle qui ne me correspondait pas du tout, mais ne le sachant pas encore à ce moment-là, j’ai sombré doucement mais sûrement. J’ai senti venir le burn-out bien sûr, mais je ne me suis pas écoutée… Ce burn out, je l’ai fait en 2 temps, comme me l’a si bien expliqué Isabelle. Je me suis écroulée une 1ère fois, et j’ai volontairement ignoré mon état, pour m’écrouler d’encore plus haut une 2nde fois six mois après. 6 mois où j’ai lutté de toutes mes forces contre moi-même, jusqu’au jour où, tout m’est devenu impossible. Je croyais ne plus avoir d’espoir…
C’est mon médecin généraliste qui m’a mise en relation avec Isabelle. Consulter une psychothérapeute était une nouveauté pour moi. A cette période-là, je me sentais tellement vide à l’intérieur de moi-même, la vie avait perdu tout son sens et son piquant. Alors oui, pourquoi ne pas tenter la psychothérapie ? J’étais au bout du rouleau, je n’avais plus de jus, plus goût à rien, en mode catatonique dans mon canapé, rongée par le stress chronique, les angoisses de tout, les pleurs, les insomnies, le cœur qui galope sans cesse. Bref, je me suis présentée à Isabelle dans un sale état ! Entre vous et moi, c’était pas joli joli ! J’avais perdu toute estime de soi. Mais bon, il faut bien commencer quelque part, et moi, j’avais décidé que c’était assez !
Professionnellement parlant, j’étais hors-jeu. Je me suis arrêtée durant une longue période, mais nécessaire pour me reconstruire. A la maison aussi, il y a eu des répercutions, j’étais physiquement présente, mais totalement absente pour ma famille. Ma fille en a souffert, mon mari aussi. Si je ne pleurais pas, je perdais patience pour tout et n’importe quoi et je piquais de grosses colères, et j’étais beaucoup moins impliquée dans la vie familiale. Cela a été dur pour eux aussi.
Les 1ères séances étaient sources d’interrogations mélangées à un soupçon d’angoisse. Comment va se passer la 1ère séance, puis les suivantes ? Vais-je encore pleurer ? Quel coin du tapis allons-nous soulever ? Le burn-out ne s’invite pas seulement dans la sphère professionnelle, il se tapit également dans la vie personnelle. Tous les aspects de ma vie sont abordés sans tabou, ni jugement, Isabelle faisant preuve d’une très grande bienveillance, du coup c’était facile de parler. Je me souviens d’ailleurs de notre première séance, j’ai tout de suite accroché avec Isabelle, sa personne dégage quelque chose de particulier et singulier qui vous met immédiatement à l’aise. Je suis toujours sortie des séances en étant apaisée.
Les séances se sont déroulées de façon régulière, le déclic s’est fait en 2 fois. Je me souviens en particulier avoir prononcé LA phrase: « Accroche-toi à la vie et vois comme elle est belle », j’étais submergée par un tourbillon d’émotions fortes mais tellement positives ! Et quelques séances après, Isabelle et moi-même avons débattu d’un ouvrage de développement personnel que j’avais lu dernièrement. Et c’est là que j’ai découvert qui j’étais vraiment, j’ai rencontré mon MOI. A partir de ce moment-là, mon ciel si sombre s’est éclairci d’un coup ! Je me suis ignorée trop longtemps ! Inconsciemment j’ai lutté contre mon « moi » véritable, j’ai lutté contre mes valeurs qui sont chères à mon cœur, car j’avais peur de sortir du cadre que l’on cherche à nous imposer. Aujourd’hui je n’ai plus peur de me montrer telle que je suis. Je suis authentique ! Et il n’est plus question de faire passer les autres ou tout du moins ce qu’attendent les autres de moi, en priorité, et au détriment de mon bien-être. Ma priorité, c’est moi, ce que je suis, ce que je ressens.
A ce jour, j’ai repris le travail, mais à mes conditions. Je ne subis plus, je vis pleinement comme j’en ai envie, et je n’ai plus peur de dire « non ». J’ai enfin retrouvé du sens à mon existence.
Mais je reste vigilante, et je suis plus que jamais à l’écoute de mon corps.
N’ayez pas peur de confier vos tourments à Isabelle. Je ne la remercierai jamais assez de m’avoir accompagnée dans ce cheminement personnel. Elle m’a démontré que la vie ne se voyait pas uniquement sous un seul angle, il y a toujours d’autres perspectives bien plus intéressantes ! Alors acceptez cette main tendue et laissez opérer la magie. Vous en tirerez tellement de bénéfices après !
Gardez espoir, car l’arc-en-ciel vient toujours après la pluie.
»
Suzanne, 38 ans, Soignante

« Après un peu plus de 15 ans de vie professionnelle en tant que cadre, j'ai fait un burn-out. J'ai réussi à rebondir par moi-même dans un premier temps en trouvant un nouveau poste mais finalement cela n'a pas fonctionné. Je me suis retrouvé au chômage pour la première fois de ma vie.
A ce moment-là, je ne savais plus vraiment par où commencer pour écrire la suite de mon histoire. Tout était assez brouillon dans ma tête : retrouver un poste dans le même type d'entreprise ? Faire une reconversion dans un autre secteur totalement différent ? Tout abandonner ?
J'ai ressenti le besoin de me faire accompagner pour mieux comprendre mes valeurs, identifier ce qui me motivait vraiment dans la vie professionnelle et ce qui comptait vraiment pour moi au delà du travail.
C'est à ce moment-là que j'ai commencé un suivi avec Isabelle. Nous avons discuté ensemble de mon histoire personnelle et professionnelle, de ce qui me motivait vraiment, de ce qui sous-tendait ma personnalité. J'ai apprécié l'écoute, et cela m'a donné une énergie nouvelle.
7 mois plus tard, ma carrière a pris un nouveau tournant et j'ai créé ma propre entreprise, fidèle à mes valeurs et à ma personnalité. Cela me permet d'être épanoui, professionnellement et personnellement et d'avoir retrouvé le sourire le matin quand je pars travailler.

Je vous recommande donc de contacter Isabelle si vous vous posez des questions sur votre avenir professionnel ! 
»
Armel, 39 ans, Entrepreneur

« C'est une amie qui m'a donnée les coordonnées d'Isabelle Gabas l'ayant déjà consultée. Mon amie m'avait expliquée la méthode d'Isabelle sous un format coaching. Mais avant de me décider à consulter Isabelle, j'ai préféré consulter une psychologue, pensant que des séances chez un psychologue seraient plus adaptées à ma "problématique".
Je souffrais de mal-être, de tristesse et de déprime chroniques depuis plusieurs années. Je pleurais fréquemment. J'avais le sentiment d'être devenue l'ombre de moi-même au fil des années, de ne vivre que pour le "marche ou crève" sans plaisirs ni bonheur, sans aucun moment de lâcher-prise.Ne n'être plus que maman et chef d'entreprise.
J'ai un travail très prenant qui m'accapare énormément, et ma vie ne s'articulait qu'autour de mon travail. Je partageais ma vie depuis plusieurs années avec mon (ex)conjoint travaillant dans la même entreprise que moi et étant tout autant accaparé par le travail. Notre relation ne se limitait plus qu'au travail et à l'éducation des enfants depuis plusieurs années déjà. Nous étions devenus des co locataires. J'avais mis mon mouchoir sur ma vie de femme. Mais ce mal-être devenait de plus en plus important, m'affectant psychologiquement puis physiquement par la maladie notamment par des affections pulmonaires qui se sont aggravées par une affection cardiaque.
C'est à ce moment-là que j'ai pris conscience qu'il fallait que je prenne soin de moi physiquement en levant le pied mais aussi psychologiquement en me faisant aider par un tiers. Je sombrais dans une grosse déprime.
J'ai alors accepté un arrêt de travail de 3 mois devenu indispensable à ma guérison. Cette pause a été salutaire d'un point de vue santé et m'a permis de me remettre en question.
J'ai pris "le taureau par les cornes" et je me suis décidée à consulter un psychologue. J'ai fait quelques séances qui pour être honnête ne m'ont pas apporté grand chose si ce n'est m'entendre parler dans un monologue avec moi-même, me confier et beaucoup pleurer...
Bref je n'avançais pas et je restais avec mes questions et mes réponses.
Alors je me suis décidée à consulter Isabelle. Le courant est passé entre nous dès la première séance au cours de laquelle elle m'a expliquée sa méthode. J'ai tout de suite accroché à cette technique, à cet échange constructif.
De séance en séance, je progressais en comprenant ce qui m'arrivait, pourquoi j'en étais arrivée là. Lorsque qu'on identifie la cause du "mal", on trouve plus facilement "le remède".
Isabelle m'a véritablement coachée dans ce parcours de reconquête avec moi-même, dans ma quête du bonheur. J'ai gagné en confiance en moi, j'assume mes choix de vie. J'ai dit stop à la co location avec mon (ex)conjoint.
Je n'ai pas encore atteint tous mes objectifs mais je suis sur la bonne route et dans la bonne direction pour y arriver. Merci à vous Isabelle. Et je sais que vous êtes là au cas où et si j'ai besoin d'un soutien.
»
Évelyne, 54 ans, Chef d'entreprise

« Quand j’ai décidé d’aller voir Isabelle, J’étais en phase de reconstruction professionnelle et personnelle après avoir quitté un poste de manager à fortes responsabilités sur lequel j’étais en quasi situation de burn out. Ma vie personnelle en avait été lourdement affectée également.
J’avais repris le fil de ma vie personnelle et j’étais en recherche et en construction d’une nouvelle identité professionnelle. Je me sentais très fragile et je souhaitais effectuer ce travail thérapeutique afin de me donner les moyens de réussir ce nouveau tournant dans ma vie. Je savais que si je ne faisais pas ce travail sur moi-même avec un miroir bienveillant pour me poser les bonnes questions et cesser de me dire que le problème c’est moi, que le problème est insoluble, et que rien en peut changer, je risquais d’être à nouveau en difficulté et mettre en péril le nouvel équilibre que j’avais réussi à créer.
J’ai pu déposer auprès d’Isabelle tout ce qui me tracassait, tout ce qui m’empêchait, tout ce qui était source de dévalorisation mais aussi de colère et donc d’aveuglement. Isabelle a mis de la lumière sur l’ombre. Elle m’a permis par des questionnements, des propositions de lecture, des exercices, de me libérer de « mes démons », de trouver le calme et la sérénité en moi et avec moi.
Je me suis donné du temps et le fait de savoir que je pouvais m’appuyer sur ces rendez-vous réguliers m’a permis de prendre du recul sur les situations et de me sentir plus forte pour les affronter.
Isabelle m’a aidée à construire ma nouvelle identité professionnelle et à conforter ce qui m’est le plus cher sur le plan personnel.
Aujourd’hui j’ai terminé ce travail et je me sens accomplie. L’écoute, l’empathie, la bienveillance, la simplicité « apparente » des questionnements que propose Isabelle m’ont guidée sur le chemin de cet accomplissement.
Un grand merci à elle pour tout ça.
»
Célia, 51 ans, Coach

« Les conditions de mon licenciement m'ont amenée à consulter Isabelle GABAS. Le commerce dans lequel je travaillais perdait constamment du chiffre d’affaire, et mon employeur a décidé de me licencier, étant le plus gros salaire. Mais cela faisait des années qu'elle me harcelait et que je travaillais dans des conditions déplorables, humiliations devant mes collègues etc..., elle essayait de me pousser à la faute ou à démissionner. J'ai résisté longtemps jusqu'en octobre dernier, où elle a commencé à mettre en doute mon intégrité morale; aussi, n’en pouvant plus, mon médecin m'a obligé à m’arrêter. Voyant que sa stratégie n'allait pas dans le sens espéré, elle a engagé une procédure de licenciement économique à mon encontre. Je dois dire que cela m’a beaucoup abattue dans un premier temps. Mes sentiments à ce moment étaient partagés : d'une part une injustice par rapport à sa façon de me traiter et d'autre part un mal être qui me faisait remettre en cause mes compétences, mes qualités professionnelles. Grâce à une amie qui m'a donné les coordonnées d'Isabelle, et au soutien de ma famille, j’ai donc décidé de m’investir dans cet échange.
Cela m'a vraiment beaucoup aidée car dans ces moments là, on passe constamment du coq à l'âne; un jour c'est blanc, un jour c'est noir, bref on est vraiment perdu. Isabelle m'a permis de répondre à beaucoup de questions, de retrouver l'estime de moi-même, de me pencher sur mes compétences et mes valeurs, de mettre de côté la colère en moi qui m’empêchait d'avancer. Je suis enfin apaisée et j’ai un beau projet d'avenir. Bien sûr, je n'excuse pas l’attitude de mon ancien employeur, et je ne laisserai plus personne me traiter de la sorte. Il faut prendre soin de soi, savoir dire non, apprendre de ses erreurs, se faire confiance. Isabelle est une personne charmante, à l'écoute, qui vous accompagne dans ce travail sur soi et vous amène à voir les choses sous un autre angle. Je recommande à toutes les personnes en difficulté personnelle et/ou professionnelle, cet accompagnement qui ne peut être que bénéfique.
»
Caroline, 61 ans, Cadre dans une petite entreprise commerciale

« Suite au changement de direction dans mon entreprise, il y a quelques années, mes conditions de travail se sont détériorées. Puis l'année dernière, c'est ma santé qui s'est dégradée : insomnies, crises d'angoisses, paranoïa, perte de cheveux, prise de poids, et un mal-être généralisé qui m’empêchait d'avancer dans ma vie personnelle. Je parlais de mes déconvenues professionnelles en permanence à tout mon entourage, ma vie ne tournait plus qu'autour de ça.
Je suis allée voir mon médecin traitant pour mes symptômes physiques et celui-ci a souhaité m'arrêter, impossible de l'envisager. Il m'a donc conseillé de rencontrer Isabelle GABAS pour m'aider à y voir plus clair.
Dès la première séance j'ai ressenti un soulagement, ma souffrance était légitime. Et effectivement, Isabelle m'a amenée à me poser les bonnes questions sur mes attentes, mes contradictions, ce qui me posait problème dans ma relation avec ma direction et vis à vis de mes collègues de travail. Les liens avec mon histoire personnelle passée, notamment mon enfance. Ce rôle dont je me sentais investie mais qui n'était pas le mien.
Ensuite elle m'a aidée à regarder la réalité en face. Ce n’était plus le travail que j'aimais, la décision à prendre était claire : le quitter. Malgré tout à ce moment là, je n'étais pas encore prête à lâcher.
Mais peu de temps après, une opportunité s'est présentée, j'ai un peu hésité mais forte de ma nouvelle résolution je suis allée passer l'entretien. Celui-ci s'est révélé positif. J'ai donc démissionné, un vrai soulagement.
J'ai la sensation que cela fait longtemps que je savais que je devais partir, mais après plusieurs années d'investissement, j'avais du mal à l'accepter, je me raccrochais à tout et n'importe quoi pour continuer car les changements m'ont toujours fait peur... Mes séances avec Isabelle m'ont permis d'accepter cette issue inévitable et de franchir le cap le moment venu. Aujourd'hui je commence à retrouver ma sérénité, j'ai à nouveau confiance en moi et en l'avenir.
»
Garance, Comptable, 38 ans

« Ça faisait déjà plusieurs mois que mon corps m'envoyait des signaux : des maux de tête, changements d'humeur, insomnies...Mais je n'ai pas su m'écouter et je continuais malgré tout. Je m’investissais avec exigence autant dans mon travail que dans ma vie familiale.
Et un jour, sans consulter mon équipe, mon chef décide d'aménager plusieurs changements. Sauf que ça ne me convient pas. Je lui fais part de mon désaccord et essaie de trouver une autre solution. Mais je ne suis absolument pas écoutée et je comprends clairement que je n'ai pas le choix. J'ai été surprise par son absence de considération.
Depuis ce moment, j'avais beau lutter, quelque chose avait changé en moi. Dès que j'arrivais sur mon lieu de travail, je me sentais mal et plus à ma place. J'avais perdu mon sourire et je pleurais facilement. La nuit, c'était des insomnies ou des cauchemars. Je voyais ma famille perdue et inquiète face à mon mal être. Je culpabilisais de ne plus être au top dans mon travail et de faire du souci à ma famille.
J'avais besoin d'aide mais je ne savais pas où la trouver. Je suis allée voir mon médecin qui m'a mise en arrêt pour épuisement moral. Et elle m'a donné les coordonnées d'Isabelle. L'écoute de mon médecin ainsi que savoir que je pourrai être accompagnée était déjà pour moi un soulagement.
J'ai eu un rendez-vous avec Isabelle très rapidement. Dès les premières séances, j'ai trouvé que sa méthode était efficace. C'est parfois difficile de devoir affronter ses problèmes mais Isabelle sait nous y amener avec beaucoup de respect et d'humour.
Et après quelques séances, je comprenais déjà mieux ce qu'il m'était arrivé. Nous avons identifié mes blocages existants depuis mon enfance. Et en y travaillant, ils se sont éloignés. Parmi mes moments douloureux, nous avons réfléchi à ce que ça avait développé de positif en moi. Ça a changé ma façon de me voir et de voir ces moments.
Nous nous sommes interrogées sur mes valeurs et j'ai pu réaliser qui j'étais.
En prenant conscience de mes qualités et compétences, j'ai appris à me faire confiance. J'ai effectué ce travail avec Isabelle pendant 3 mois.
Aujourd'hui, je suis en accord avec moi même. Je sais m'affirmer et j'ai compris que c'est important de prendre soin de moi. J'ai retrouvé ma joie de vivre et l'harmonie dans ma famille. J'ai démissionné de mon travail. Et je vais en faire un autre qui correspond à mes valeurs.
Un grand merci Isabelle pour votre aide et vos conseils ! Je n’hésiterai pas à parler de vous dans mon entourage. Très bonne continuation.
»
Mélissa, Employée, 33 ans

« J’ai fini par accepter d’aller à un premier rendez-vous avec Isabelle après que toute ma famille se soit liguée contre moi, jusqu’à aller parler de leurs inquiétudes à mon sujet à mon médecin généraliste. C’est mon médecin généraliste qui m’a donné ses coordonnées, elle aussi préoccupée par mon état.
Comment en suis-je arrivé là ?
Professionnellement, un changement de poste avec de nouvelles responsabilités, des « premières fois » sans soutien ni de ma hiérarchie (départ à la retraite sans remplacement annoncé), ni de mes collègues (à qui évidemment je n’avais pas demandé d’aide). Seule pour porter un projet qui semblait me dépasser. Je ne comptais plus mes heures, mes soirées, ni mes week-end à travailler.
Côté vie privée, avec 2 enfants en bas âge, l’équilibre était impossible. Je voulais être sur tous les fronts, être une super Maman et continuer à me surinvestir au travail. C’est le travail qui a pris le dessus. Mon compagnon ayant également un métier très prenant, j’ai décidé d’appeler mon père, jeune retraité, à l’aide pour s’occuper des enfants. Quelle merveilleuse idée… J’ai pu partir à l’aube tous les matins, rentrer dans la nuit. Je ne voyais mes enfants que le week-end. Mais dans l’état de fatigue dans lequel je me trouvais, cela se passait forcément mal et mes schtroumpfs me faisaient logiquement payer mon absence.
J’en ai perdu le sommeil, pendant plusieurs semaines. Le stress m’envahissait. Mon corps a réagi avant ma tête. Je suis tombée malade, une de ces grippes qui vous clouent au lit. Rendez-vous en urgence avec mon médecin car ma priorité à ce moment-là, hélas, c’était de reprendre le travail au plus vite pour remettre mon projet à temps. Sauf qu’à la question « Comment allez-vous ? », basique, classique, je me suis effondrée en larmes, épuisée. Mon médecin a voulu m’arrêter pour une longue période, histoire que je récupère. Elle m’a dit : « Vous êtes en épuisement professionnel, il faut écouter les signaux de votre corps ». Mais je n’étais pas encore prête à l’admettre. J’ai donc négocié 3 jours d’arrêts pour reprendre rapidement mon travail et mon médecin m’a prescrit des hormones du sommeil pour que je puisse enfin fermer l’œil.
Entre ce moment-là et mon premier rendez-vous avec Isabelle, il s’est écoulé 4 longs mois. J’ai continué mon travail au même rythme, mettant ma vie de famille entre parenthèses. Je me disais que j’allais surmonter ça toute seule, j’étais suffisamment forte, que ce n’était qu’une mauvaise passe et que j’allais après cet énième projet, trouver un rythme qui me convienne. Et puis, il faut être fort dans la vie, on n’a rien sans rien… Sauf que les vannes étaient ouvertes. J’essayais de faire bonne figure, mais à la moindre faille, je fondais en larmes. Sur un énième effondrement chez mon médecin, je me suis dit qu’effectivement j’avais peut-être besoin d’aide.
Je suis allée voir Isabelle en me disant, « ça ne pourra pas être pire ». Cette séance a été un choc pour moi. Isabelle m’a posé des questions toutes simples comme comptabiliser le nombre d’heure que je passais au travail. J’ai pour la première fois été confrontée à la réalité de ce que j’étais en train de faire. Elle m’a demandé pourquoi j’étais là et qu’est-ce que j’attendais de ce rendez-vous. Elle m’a ensuite présenté sa manière de travailler, à laquelle j’ai tout de suite adhéré : la pratique narrative me plaisait, le fait que le cette thérapie/coaching soit cadré dans le temps – 6 à 10 mois – me semblait efficace. J’avais besoin de concret et de résultats rapides et mesurables. M’éterniser sur mes sentiments et mon mal être du moment ne m’enchantait pas et Isabelle proposait tout autre chose. Isabelle a tout de suite été bienveillante, je n’ai ressenti aucun jugement, ce que je craignais au premier abord. J’ai décidé au cours de ce premier rendez-vous de faire ce travail avec Isabelle. Nous avons conclu la séance sur la phrase suivante : « Le meilleur investissement que je puisse faire, c’est sur MOI. » J’ai depuis, toujours dans mon sac à main, un petit carnet dans lequel je conserve les notes prises pendant les séances pour les relire quand j’en ressens le besoin.
Le coaching s’est passé sur 6 mois, à raison d’une séance tous les 15 jours. Ce rythme me convenait bien. Les séances ont été variées, avec toujours comme objectifs que je retrouve un équilibre de vie et trouver les outils pour y arriver.
Un peu de lecture, des exercices de respiration pour retrouver de l’énergie ou pour m’apaiser, et surtout, définir mes priorités et les moyens à mettre en œuvre pour y arriver. Une séance m’a particulièrement marquée pendant laquelle j’ai décidé de ne plus être dans la souffrance et dans l’effort permanent, une croyance profondément ancrée en moi, mais je pouvais faire confiance à ma créativité, à mon imagination et à mon intuition qui avaient finalement largement fait leur preuve sans que j’y accorde l’importance suffisante. D’autres décisions simples ont été tout de suite efficaces pour que mon travail ne vienne pas empiéter ma vie privée : ne pas avoir mes mails professionnels sur mon téléphone personnel, stopper les notifications incessantes, fermer la porte de mon bureau pour travailler plus efficacement sans être dérangée, se fixer des limites, les respecter et savoir dire « NON ».
Au terme de ce coaching, j’ai repris goût à mon travail, je n’ai plus eu besoin d’appeler ma famille à la rescousse car j’ai été présente pour mes enfants. Ce coaching m’a permis de prendre du recul, je me suis enfin « vue », j’ai surmonté l’épreuve que je traversais avec l’aide d’Isabelle. J’ai repris confiance en moi. J’ai appris à m’écouter et à faire confiance à mes sensations. J’ai développé ma créativité, mon humilité, un peu de sagesse, de la clarté et du charisme. J’assume mes choix, et j’ai appris à m’affirmer. Je peux dire que j’ai appris à m’aimer.
Un double merci pour terminer ces lignes : merci à Isabelle pour son oreille attentive et le chemin parcouru ensemble, et merci à moi d’avoir décidé de me prendre en main.
Ce coaching a été une révélation pour moi et j’en parle beaucoup depuis à mon entourage. Je l’ai conseillé à plusieurs personnes qui me semblaient être en souffrance car cela a été ma solution. J’espère que ce témoignage pourra aider d’autres personnes.
»
Marie, Chef de projet, 31 ans

« J'ai rencontré Isabelle Gabas sur les conseils de mon médecin traitant, qui a toute ma confiance depuis des années.
Il m'avait au préalable conseillé un psychiatre, mais je me suis vite rendu compte que, quand bien même il était bon et expérimenté, ce dernier était toujours pressé, compte tenu du nombre de patients... (Nous vivons une époque tellement particulière !). Ses conseils se sont avérés justes mais je ne pouvais les intégrer car j'avais besoin du cheminement qui puisse m'emmener SEUL à certaines conclusions...
J'avais donc besoin d'approfondir...
Je suis du genre à ne pas m'éterniser si je ne le sens pas dès le début, laissant généralement quand même aux praticiens une chance ou deux, si le premier ressenti est passable.
Le courant est passé tout de suite avec Isabelle. Quasiment toutes ses idées ont fait "mouche". Elle emmène habilement à nos propres conclusions... ceci étant la base d'une bonne pédagogie, bien assimilée par le "receveur".
Il m'a fallu plusieurs séances pour me (re)trouver avec son aide et les médicaments, sur lesquels je ne veux pas cracher complètement !
Merci donc à Isabelle pour son expérience, son professionnalisme et donc son écoute active.
»
Laurent, Enseignant de formation, 47 ans

« Lorsque je suis arrivée la première fois dans le bureau d'Isabelle, j'étais écrasée sous le poids mental d'idées incessantes qui avaient provoqué une perte de sommeil, une cogitation permanente et une grande fatigue. Pour la première fois de ma vie, je sentais que je ne m'en sortirai pas toute seule et que j'avais besoin d'aide.
C'est le conseil d'une collègue en qui j'ai toute confiance et qui elle même avait déjà suivi une psychothérapie qui ma décidé à franchir le cap. Elle m'a donné les coordonnées d'Isabelle Gabas et sans trop réfléchir j'ai appelé dans la foulée pour prendre un rendez-vous.
Le premier entretien a été un saut dans l'inconnu : j'y suis allée angoissée, inquiète car je ne savais pas du tout comment se déroule une psychothérapie. L'entretien a pourtant été très dense, il m'a permis de déposer une première fois tout ce qui m'empêchait de retrouver le sourire.
A partir de là, j'ai pris l'habitude de cet entretien hebdomadaire qui est devenu un rituel important pour moi dans cette période. Ces rendez-vous avec moi-même m'ont permis de faire de véritables découvertes : je me suis découverte, moi, à 50 ans !!! comme si je ne me connaissais pas. J'ai découvert le pouvoir des mots et le bienfait d'avoir enfin la possibilité de déposer ses soucis et d'en comprendre la source.
Quel soulagement, quel apprentissage quelle fierté aussi d'avoir franchi le pas (dans ma famille cela n'est pas du tout habituel) et surtout quel bien cela m'a procuré.
Au bout de quelques séances, j'ai senti que j'allais mieux et que je pouvais poursuivre mon chemin toute seule, enrichie de quelques convictions nouvelles me concernant.
Si je suis confrontée à nouveau à des difficultés de vie, je n'hésiterai pas à solliciter à nouveau l'aide d'Isabelle Gabas.
»
Julie, Manager dans les Ressources Humaines, 50 ans

« Enseignant depuis bientôt 40 ans... Au cours des derniers jours de l'année scolaire 2017-2018, la grande fatigue habituellement ressentie à cette période les années précédentes fait place à un épuisement inquiétant...
Je mets donc ça dans un premier temps sur le compte des années qui s'accumulent ; l'âge avançant, la capacité à supporter une charge d'effort voit fatalement ses seuils revus à la baisse !
Quelques altercations intra-familiales surviennent également durant cette même période, mes très proches supportant de plus en plus difficilement mes propos réactifs sur toutes sortes de sujets ( les infos télévisées ne manquent pas d'enrichir la liste ! ).
A la mi-juillet, diverses affections physiques durables me conduisent dans le cabinet de mon médecin généraliste ( moi qui d'ordinaire évite de consulter en me disant qu'une fois bien reposé, les désordres disparaissent d'eux-mêmes... ).
Dès le début de ma consultation, au travers de mes propos, une sensibilité exacerbée à tout ce qui m'entoure - de près ou de loin - focalise l'attention de mon médecin ; nous nous connaissons bien, au fil de nos rencontres je l'ai perçu très concerné par le bien-être de ses patients. Après un check-up consciencieux, diverses prescriptions tombent : médicaments, orientation vers un podologue, entre autres.
Puis un conseil d'Ami : "Je connais une personne qui aide nombre d'enseignants dans les passes difficiles, je vous donne ses coordonnées...Vous devriez bien vous entendre ! Ceci dit, à vous de voir si vous souhaitez investir cette voie..."
Ce conseil, il ne l'a pas proposé par hasard : c'est une invitation bienveillante et fondée à me faire aider. Je ressens donc toute l'utilité d'accepter cette assistance, car je suis mauvais juge de mon état, et j'ai en face de moi un humain et un professionnel hors pair .
Je contacte donc Isabelle GABAS dans la foulée ; pas de hasard, mais de la chance : un désistement pour le lendemain m'ouvre rapidement cette voie prometteuse.
Ainsi commence notre rencontre ; pour une fois, je suis face à une personne qui prend le temps de m'écouter, l'ambiance et le lieu sont propices aux confidences. Les questions ciblées d'Isabelle m'emmènent très vite à des évocations tantôt douloureuses, tantôt chargées d'émotion...
Les fortifications lâchent, les larmes se déversent, imprévisibles et incontrôlables ; les bases sont posées, quelques premières évidences apparaissent. Le lien créé, le questionnement engendré, l'efficacité de notre échange nous poussent à poursuivre sur d'autres séances ; je quitte Isabelle, littéralement vidé.
La séance suivante s'apparente à une partie de ping-pong verbal, tant les paroles que je prononce et les fines orientations apportées par Isabelle fusent .
Une prise de conscience d'éléments nuisibles à mon bon équilibre en découle... Une décision de ma part s'ensuit = je vais me désintoxiquer de certains médias pourvoyeurs de messages hautement négatifs, voire à la longue destructeurs.
Des éclairages judicieux sur qui je suis, ce qui me fera avancer, nourriront la réflexion ; les graines sont semées, elles lèveront vite et bien. Nous convenons de nous voir pour un troisième échange, il devrait marquer l'aboutissement de notre action en cours.
Trois semaines ont passé : les choses se sont bien clarifiées dans mon esprit ; j'ai pris confiance en moi, les décisions prises portent déjà leurs fruits, plus qu'une chose - de taille - à poser sur le tabouret du problème .
Elle concerne le temps professionnel qui me sépare de ma fin de carrière, les freins à mon épanouissement et à la sérénité attendue que je vis au quotidien dans mes fonctions .
L'heure file, les éclairages et les recentrages d'Isabelle sont à nouveau efficaces, constructifs, fortifiants, pour établir une ligne d'existence future qui ne laisse plus de prise aux éléments qui m'ont jusque là perturbé .
Beaucoup d'émotion pour moi lors de la conclusion de ce parcours, je constate que les rares belles personnes que j'ai rencontré au cours de ma vie génèrent en moi de puissantes forces !!
Isabelle est l'une d'elles.
Je vous conseille à mon tour cette merveilleuse rencontre... Votre avenir s'en trouvera positivement modifié ! C'est gagnant-gagnant...
»
Pierre, Enseignant‌, 58 ans

« J'ai commencé l'accompagnement avec Isabelle Gabas suite à un mal-être profond au sein de mon travail, qui s'est répercuté sur ma vie personnelle et ma propre personne : mon identité. Du haut de mes 22 ans, je me sentais vide, incomprise et irrespectée par toutes ces personnes plus âgées et plus expérimentées qui m'entouraient.
J'avais de grosses angoisses et je prenais des anxiolytiques puissants pour avoir l'illusion de me sentir mieux. Je me sentais dépressive et me posais un tas de questions tous les matins en allant travailler quant à mon avenir.
Je me rappelle m'être assise pour la première fois sur le fauteuil en face d'Isabelle et lui avoir dit "je ne sais pas qui je suis". En effet, mon entourage qu'il soit personnel ou professionnel se permettait sans cesse de me dire qui j'étais avec son propre regard, et souvent avec des remarques peu encourageantes. J'avais beaucoup de mal à affirmer mes choix, ma personnalité et dire "NON" car j'ai longtemps pris sur moi et toujours affiché mon plus beau sourire.
Dans le passé, j'avais déjà consulté un psychologue et un psychiatre aux méthodes "classiques", ce qui n'a fait que reporter dans le temps mon mal-être plutôt que le résoudre. Je peux aujourd'hui dire que la méthode utilisée par Isabelle, combinée à sa personne, m'a été extrêmement bénéfique et rassurante.
Isabelle m'a appris à identifier mes valeurs (franchise, authenticité, courage, bienveillance, loyauté). Elle m'a également appris à dire "non" et à ne pas me forcer à faire ce qui n'est pas en accord avec moi même.
A ce jour j'ai bien plus confiance en moi, je m'occupe beaucoup moins du regard que les autres portent sur moi, ce qui auparavant me gâchait littéralement la vie.
Isabelle est une personne qui m'a fait voir la vie sous un autre angle. Elle m'a fait comprendre une chose qui me sert aujourd'hui dans ma vie quotidienne, c'est que face à un problème, on se pose souvent des tas de questions qui amènent à des angoisses parfois extrêmes alors que le moyen de résoudre ce problème est très souvent beaucoup plus simple et direct que ce que l'on imagine.
J'ai vécu cet accompagnement comme un voyage avec des étapes parfois douloureuses mais aujourd'hui clôturé. J'avais un sentiment de soulagement et un poids qui s'amenuisait au fil des séances. Au delà d'être une thérapeute, Isabelle a été une confidente d'une extrême bienveillance, une personne humble et très attentive, qui ne porte aucun jugement et qui m'a valorisée. Lorsque je repense à elle, je la vois comme ma guide.
»
Mia, en reconversion professionnelle, 22 ans

 

« J’ai quitté l’entreprise pour laquelle je travaillais depuis 16 ans, car je me sentais dévalorisée, détruite, inutile. Après toutes ces années, je ne sentais aucune reconnaissance de mon travail et de la personne que j’étais. Je leur en voulais de m’avoir fait subir toutes ces humiliations, et je m’en voulais de n’avoir jamais réussi à dire stop.
Je ne dormais plus, j’étais régulièrement en arrêt maladie, je n’avais souvent plus la force d’aller travailler. Je pleurais souvent et je me trouvais nulle. Je ne voyais pas comment d’autres personnes pourraient avoir besoin de moi.
Les relations avec mon mari et mes enfants étaient difficiles parce que je râlais tout le temps, j’étais tout le temps fatiguée, irritée, impatiente.
Le déclic s’est fait à mon retour d’un arrêt maladie où en mon absence, un poste que je souhaitais obtenir depuis plusieurs années et pour lequel j’étais légitime avait été donné à l’alternante que je formais depuis 2 ans. Ça a été une claque, véritablement, et j’ai décidé que je n’accepterais plus jamais de telles humiliations. Ils étaient allés trop loin en pensant que comme d’habitude, je ne dirais rien. Je ne supportais plus ce qu’ils avaient fait de moi, et je ne voulais plus que mes enfants voient leur mère comme ça.
J’ai décidé de quitter cette entreprise et de me reconvertir dans un métier où je souhaite apporter mon aide aux jeunes. Mais j’avais d’abord besoin de me découvrir, de m’aider moi-même. J’ai demandé conseil au coach qui me suivait dans le cadre de ma reconversion, et il m’a parlé d’Isabelle GABAS. J’ai décidé d’aller la voir pour qu’elle m’aide à casser les schéma dans lesquelles je m’étais enfermée. J’ai appris que j’avais le droit d’avoir une opinion et de la donner; que j’avais le droit de ne pas tout accepter sans rien dire; que je pouvais être qui je voulais sans me sur-adapter aux autres en permanence.
J’ai pris de la distance avec les personnes qui ne m’acceptait pas telle que je suis et que je souhaite devenir, et avec celles qui ne me respectent pas. Ce fut une expérience parfois douloureuse, qui m’a obligée à penser à moi et à ce qui n’allait pas, et surtout libératrice car je ressortais des séances soulagée d’avoir pu exprimer mes émotions.
»
Léonie, ex-assistante DRH en reconversion professionnelle, 40 ans

« Ayant tendance à me réveiller plusieurs fois dans la nuit, j’étais épuisée et je pleurais pour un rien. Les somnifères prescrits par mon médecin ne règlaient pas mon problème qui était d’ordre psychologique. Dans mon entourage proche, d’autres personnes souffraient de mal être et je ne savais pas comment les aider. Je me sentais impuissante et ça me rendait encore plus mal.
Parmi ces personnes, un membre de ma famille a fait un burn out. Je l’ai vue un jour totalement abattue. Elle restait immobile pendant des heures. Je l’ai revue 4 mois plus tard totalement métamorphosée, souriante, optimiste et dynamique. Elle m’a fait part de ses démarches pour s’en sortir. J’étais admirative et je me suis dit que moi aussi je pouvais me prendre en charge pour aller mieux.
 Je suis alors allée voir Isabelle Gabas qui a su me faire prendre conscience de mes priorités et de mes valeurs en m’écoutant, en me questionnant tout cela avec une extrême bienveillance et sans jugement.
A la fin des entretiens, je ressentais un grand soulagement. Je me posais pourtant encore plein de questions, mais des questions constructives et j’agissais pour évoluer.
Quelques séances ont suffi pour que je prenne de l’assurance, que j’assume mes choix, que je m’autorise ce que je m’interdisais auparavant.
J’ai retrouvé ma joie de vivre !
»
Fleur, Enseignante, 45 ans

« J’ai commencé l’accompagnement suite à un arrêt de travail pour cause de fatigue et d’épuisement professionnel. J’étais dans un état de stress important, en lien avec ma situation professionnelle et familiale. Tout me semblait difficile, voire insurmontable.
Physiquement, je me sentais épuisée car je dormais mal. J’étais très émotive. Je me renfermais sur moi-même. Je n’avais plus d'énergie pour mes activités extra professionnelles, ni même pour les tâches routinières à la maison. Mon énergie était focalisée sur mes activités professionnelles.
Après plusieurs mois, j’ai pris l’initiative de consulter un médecin généraliste, mais c'est avec Isabelle Gabas que j’ai véritablement pris conscience de mon état. Au fur et à mesure des séances, j’ai changé mon regard sur moi, sur mon travail, sur mon entourage familial et professionnel.
J’ai en quelque sorte repris ma vie en main.

Cette période d’accompagnement m’a permis d’identifier mes valeurs, de regarder en face qui j'étais et ce que je voulais. Je m’écoute plus. Je suis plus déterminée à équilibrer ma vie familiale et professionnelle. Je m’autorise aussi à prendre du temps pour moi-même. Au niveau professionnel, je définis mes priorités et ma charge de travail en fonction de mes valeurs et de mes objectifs personnels.
Je définis plus facilement mes priorités car je m’écoute plus et je connais mes limites. J’ai commencé parallèlement la pratique de la méditation de pleine conscience qui me permet de continuer sur le changement amorcé. Le chemin n’est pas terminé mais c'est enthousiasmant.
Cela a été une expérience unique très enrichissante qui m’accompagne encore très souvent dans mes prises de décision ou dans mes choix. Je recommande ce suivi dans le cas de burn out ou avant burn out pour faire le point, pour identifier les difficultés et les ressources que chacun d’entre nous a, mais qui sont souvent négligées ou enfouies.
»
Sophie, Enseignante, 54 ans

« Je n’arrivais plus à m’en sortir, j’étais dans une position où personne de mon entourage ne pouvais m’aider. Je n’arrivais plus à avancer. J’avais tendance à préparer chaque chapitre de mon futur, et là, je ne voyais plus qu’un futur négatif et sombre. Aucun moyen de me sortir de cette impasse. J’étais simplement en train de craquer. J’avais crucialement besoin d’aide, d’une vraie aide de quelqu’un d’extérieur à la situation qui pourrait m’accompagner. Mon mal être a impacté ma compagne, je me suis accroché à tout ce que je pouvais pendant ma descente aux enfers, elle l’a subi. Je me raccrochais à elle, c’était mon médicament .
Mes frères me voyaient triste, malheureux, je ne partageais pas de temps avec eux .
Mes parents avaient peur pour moi, ils avaient peur pour mon couple, pour mon travail, je commençais à tout abandonner, à tout remettre en question. Je ne sortais plus, j’ai coupé les ponts avec beaucoup d’amis, j’ai commencé à boire de l’alcool seul chez moi, à prendre 20 kg, à ne compter que sur ma compagne, à perdre toute estime et confiance envers moi et les autres, je me suis renfermé et  suis devenu « paranoïaque » .
J’avais peur de sortir dans la rue, de la façon dont les gens me regardaient, de ce qu’ils pouvaient penser de moi. Et quand on me forçait à sortir, il me fallait quelqu’un à mes côtés, et si je le perdais de vue, une honte, une colère, une perte de confiance et de la peur surgissaient. Ce sentiment était horrible.
Au travail, plus grand chose n’allait, malgré les compétences que j’avais, je ne pouvais plus partir en rendez vous à la rencontre de nouvelles personnes, de peur de ce qu’elles pouvaient penser de moi, ou de faire mauvaise impression. J’avais peur de ne pas vendre et de me remettre encore et encore en question sur mes qualités. Je me suis écarté de mon équipe et j’ai commencé à travailler seul.
Les seules choses qui me remettaient sur les rails était d’arriver à plaire. Plaire à n’importe qui tant que je voyais dans son regard que la personne avait une attirance pour moi, le cercle vicieux continuait. Plaire ne me suffisait pas, il fallait que j’aille jusqu’au bout, pour voir si je plaisais vraiment. Je me suis mis à tromper ma compagne, à mener des doubles relations. Et quand la personne m’avait redonné confiance, je passais à une autre pour étancher ma soif. J’y ai perdu ma compagne, mes principes, ma dignité, et je me suis fait passer pour une personne que je n’étais pas réellement. Je n’arrivais plus à me reconnaître.
Mon déclic a été de prendre conscience que j’avais besoin d’aide, qu’il fallait que je guérisse, que je ne pouvais plus vivre une vie destructrice pour moi et pour mon entourage, mais surtout pour moi. Quand j’écris « surtout pour moi » c’est que toute ma thérapie avec Isabelle Gabas a été tournée là dessus.
Je me suis re-axé sur ce que je voulais vraiment pour moi. Je pouvais trouver en moi la force d’avancer, je n’avais pas besoin d’entendre un avis positif ou une relation pour cela. Il fallait que je vive ma vie, pas pour ma famille, pas pour mes collègues mais pour moi. Il me fallait une vie qui tremble, je m’étais rangé trop vite, je n’ai pas profité de tout ce que je pouvais faire, moi, tête brûlée. Il fallait que je m’inscrive dans un club de tir, que je fasse des sauts en parachute, que je fasse de l’apnée tous les mercredis, de l’avion de voltige, des nuits blanches à rouler dans la ville, que je parte sur un coup de tête à Londres ou en Belgique en voiture, sans réserver quoique ce soit.
Il me fallait ma dose d’adrénaline, sentir que je suis en vie, sentir ma vie taper en moi.
Je remercie clairement Isabelle de m’avoir fait comprendre que chaque personne a sa vie, que nous n’avons pas à suivre la vie d’un autre ou la trame qu’on nous impose. À chaque période son envie et ses valeurs.
J’ai toujours voulu aider les personnes qui m’entouraient, et je le faisais bien. Mais pour beaucoup, j’étais en quelque sorte un « sauveur » et Isabelle m’a fait me rendre compte qu’être un sauveur n’est pas bon quand la personne ne veut pas réellement être aidée, même si l’aide qu’on apporte est bonne. Alors plutôt que me perdre à le faire et à me faire du souci pour les autres ou me bloquer pour les autres, j’ai arrêté. Je décide de le faire pour une vraie cause, pour des gens qui me le demande réellement. Je me suis inscrit aux pompiers volontaires durant ma thérapie, et là tout est réuni pour me convenir .
Ce qui m’aide réellement aujourd’hui c’est que je me lève et me couche en pensant à ce but prochain, je persiste à envoyer des courriers malgré le trop plein de monde dans la caserne, je me suis mis à faire de la course à pied tous les jours, à suivre un entraînement difficile qui va m’aider le jour des épreuves, parce qu’un jour j’irai .
Je pense à moi et j’ai appris que j’avais des valeurs, mais que mes valeurs pouvaient changer et que mes valeurs étaient MES valeurs, pas celle d’un autre. Si je m’énervais, ça signifiait que mes valeurs étaient remises en cause, il n’y a rien de grave, il faut juste en prendre conscience et prendre la situation différemment. J’ai appris que j’étais logique, libre, confiant, habile, bienveillant, secret. Je sais aujourd’hui vivre seul, je me fais moins de souci pour le futur, je vis le moment présent, et j’aime ma vie, j’aime la vie que je me suis créée. Il y a toujours des éléments ou avec la fatigue je peux être plus faible, mais j’en ai conscience, rien n’est grave, tout se règle avec patience .
Si demain je ne suis pas assez fort pour affronter une situation je saurais me tourner vers Isabelle Gabas. Je suis heureux de l’avoir rencontrée, je suis heureux qu’elle ai pris le temps qui fallait pour m’expliquer, pour me guider. Je la remercie vraiment, elle m’a convenu parfaitement. Je suis content d’être enfin tombé sur la bonne personne et sur l’aide qu’il me fallait. Je suis enfin en accord avec moi même. Je recommande Isabelle dès que je le peux.
»
Jonathan, Commercial, 24 ans

« Ces dix dernières années, j'ai occupé un poste de comptable général dans une grande entreprise. J'étais aux services de 35 agences, et je participais activement aux différentes instances représentatives du personnel. Je mettais un point d'honneur à être irréprochable, donnant le meilleur de moi-même; mais tandis que ma hiérarchie s'acharnait sur moi (alors qu'elle admettait que je faisais du bon travail), j'étais submergée par les appels à l'aide des collaborateurs.
Il y a 2 ans, les soucis de santé ont commencé : gastrite, périodes de fatigue intense, lombalgies… Tous les virus hivernaux me prenaient pour cible : mon médecin me donnait un traitement, quelques jours de repos puis je retournais à mon poste, soucieuse de ne pas laisser mes collègues dans l'embarras.
Jusqu'au jour où, suite à un léger malaise, c'est un autre médecin qui m'a reçue. En lisant mon dossier, il a diagnostiqué un "burn out". A cet instant, j'ai pensé : "Il exagère un peu, je ne suis pas si mal en point que ça". Mais au fond, je savais qu'il avait raison : j'étais fatiguée d'être épuisée, et je ne voulais pas avaler des anti-dépresseurs toute ma vie, comme si c'était normal.
Il m'a alors conseillée d'aller voir Isabelle Gabas. J'étais un peu sceptique et méfiante (je l'avoue), mais dès le premier entretien, elle s'est montrée bienveillante et j'ai enfin pu verbaliser tout ce qui me rongeait. Je me suis alors complètement effondrée : je ne savais plus qui j'étais et ce que je voulais faire de ma vie. Son positivisme et son soutien m'ont permis de reprendre confiance en moi, de me reconstruire. Chaque entretien était une bouffée d'oxygène, d'autant qu'ils ont eu lieu dans son bureau au fond du jardin, cocon rassurant loin de l'agitation, lieu propice aux confidences.
Le chemin a été long, semé de doutes. Notamment lorsque j'ai dû consulter par deux fois un psychiatre (pour la CPAM). Celui-ci m'a annoncé : "Madame, vous être dépressive", comme si j'avais une maladie incurable! Je ne suis jamais retournée le voir. J'avais besoin de relever la tête, pas qu'on me la maintienne sous l'eau… C'est en cela qu'Isabelle est différente, elle nous rappelle qu'il n'y a pas de fatalité !
Ma première grande décision a été de quitter mon travail, et de changer de métier. Dès lors, je me suis sentie libre, et j'ai réalisé que je pouvais faire autre chose de ma vie.
Aujourd'hui j'ai d'autres priorités, je prends du temps pour moi et cela se ressent à la maison: mes relations avec ma famille se sont apaisées. Nous sommes plus à l'écoute les uns des autres. C'est une véritable renaissance. Comme le disait un médecin que j'ai rencontré en mai dernier : "Vous semblez très sereine".
Oui, je le suis.
Merci Isabelle. »

Elisa, Ancienne comptable en reconversion professionnelle, 43 ans

« Je travaille depuis plus de 15 ans dans la gestion des ressources humaines au sein d’une grande entreprise. J’ai toujours accordé une importance primordiale à l’Humain dans mon travail, car si l’entreprise demande beaucoup à son personnel, elle se doit en retour d’en prendre soin. Mais, début 2016, complètement abattu et toujours à fleur de peau, j’avais perdu « la foi ». J’envisageais même de jeter l’éponge et de me reconvertir. En effet, je traversais des moments extrêmement difficiles aussi bien dans ma vie personnelle et familiale que dans ma vie professionnelle. En instance de divorce et souffrant d’un syndrome post-traumatique à la suite du décès de ma sœur et de son époux lors des attentats du 13/11/2015,  j’étais au plus bas aussi bien au plan moral que physique. De plus, le cocktail de médicaments que je prenais (antidépresseur, sédatif et morphine pour calmer les douleurs occasionnées par une hernie discale) perturbait fortement mon jugement et mon comportement sans que j’en aie vraiment conscience, ce qui n’était pas sans conséquence dans mes relations de travail avec mes collègues et mon chef de service, qui avait fait de moi une de ses victimes favorites.
Je sentais bien que je ne pouvais pas continuer sans réagir. Je le devais à mes enfants, à ma sœur qui n’aurait pas aimé me voir sombrer, mais aussi à moi-même. N’habitant pas sur la région bordelaise, c’est un peu par hasard que j’ai entendu parler d’Isabelle GABAS par une connaissance qui me l’a chaudement recommandée, et c’est donc par téléphone qu’elle a accepté de m’accompagner il y a un peu plus d’un an.
Au début, j’avais surtout besoin de verbaliser la douleur et la colère que je ressentais depuis la mort tragique de ma sœur et mon beau-frère. Je n’avais plus goût à rien et l’impression que mon travail n’avait plus aucun intérêt. Puis, peu à peu, grâce aux précieux conseils d’Isabelle et à ses questionnements, j’ai pu faire une véritable introspection qui m’a permis de prendre conscience de qui je suis et des valeurs qui m’animent. J’ai aussi appris à me respecter et à dire non, car j’avais souvent tendance à faire des choses, non pas parce que je le voulais, mais parce que je savais que c’était ce qu’on attendait de moi. Depuis quelques mois, je me sens de nouveau assez fort pour ne plus subir les brimades de mon chef, qui d’ailleurs l’a bien compris puisqu’il ne s’acharne plus sur moi. J’ai réussi à arrêter tous les médicaments, je me suis remis au sport, et même si mon dos se rappelle régulièrement à mon bon souvenir, j’ai repris goût à la vie et relevé la tête.
Avec le recul, je peux dire que l’accompagnement d’Isabelle m’a été très profitable et que c’est sans hésiter que je la recommanderai à mon tour.
»
Jean, Gestionnaire ressources humaines, 40 ans

« Avant de commencer cet accompagnement,  je me sentais désorientée, découragée, épuisée et dévalorisée. J'étais extrêmement irritable, assez agressive, ma santé physique se détériorait. Je pensais remonter la pente doucement toute seule jusqu'à ce que j'assiste à la conférence d’Isabelle, là les larmes sont venues et j'ai compris que si je ne faisais pas le pas maintenant, je courrais à la catastrophe!
Maintenant, j'organise mon emploi du temps différemment, avec plus de souplesse, je prends le temps de la réflexion avant de m'engager, je m'accorde plus de temps perso. J'ai pu mettre en évidence que mon potentiel n'était pas exploité, que je ne me faisais pas assez confiance. Je me suis rendu compte que la souplesse était la clé de mon bien être. J'équilibre mieux le temps perso/pro. Je crois en mes capacités professionnelles et souhaite désormais exploiter tout mon potentiel créatif. Avant je me pensais forte dans le sens où je pouvais "endurer", maintenant je me sens forte dans un esprit de "conquérante"!
Je suis plus vigilante aux symptômes sournois du burn out qui pourraient transparaître chez mes proches, et étant donné les résultats très positifs et rapides qu'a eu cet accompagnement sur moi, je n'hésiterais pas à recommander Isabelle! Je la remercie pour son accompagnement, son dynamisme, son positivisme, sa bonne humeur et son efficacité!
»
Vanessa, Décoratrice, 41 ans

« Il y a un an, j'ai fait un burn out, chose qui, pour moi, ne pouvait arriver qu'aux autres.
J’étais ingénieur généraliste à ce moment-là, occupant 3 fonctions en même temps : la gestion d’affaires, la conception et la fabrication de produits. A 32 ans, on se sent invincible et on se dit que cet épuisement professionnel ne peut arriver qu’aux autres.

Tout a commencé avec un sentiment de stress qui montait progressivement au fil des journées, me rendant incapable de travailler convenablement. Je passais des nuits abominables, avec seulement 3h de sommeil et ce sentiment de stress toujours présent. S’est ajouté à cela la fatigue, m’empêchant d’avancer dans mes tâches. J’étais pris dans une sorte de spirale infernale dont je ne pouvais me sortir.
S’ajoutaient à cela mes problèmes personnels. En effet, depuis mon plus jeune âge, avec mes parents, nous avons de gros problèmes de communication où le « non-dit » est présent à cause de la peur de froisser. J’avais aussi peur de l’image que les autres pourraient avoir de moi. Étant étudiant, j’avais bien tenté de changer cela par nécessité, mais les réflexions dites par ma mère « sur le ton de l’humour », mais dites malgré tout, ne faisaient qu’entretenir un autre sentiment : la culpabilité. Cette culpabilité s’est également retrouvée présente au travail, en plus du stress et de la fatigue. J’étais dans l’incapacité de dire non à mon supérieur, de peur qu’il ait une mauvaise image de moi. Cela m’a conduit tout droit dans le mur.
Un matin, épuisé, j’ai explosé en sanglot. Ma femme a alors pris les choses en main et m’a amené sans tarder chez le médecin qui a diagnostiqué un « burn out ». C’est à ce moment-là que j’ai commencé à avoir mes premiers rendez-vous avec Isabelle. Tout était très flou au départ, je me demandais même ce que je faisais-là. Tout est devenu très clair ensuite : cet accompagnement m’a permis d’ouvrir les yeux et de prendre conscience de mes valeurs. Mon opiniâtreté a progressé, m’a aidé à dire « non » et à refaire surface. Elle m’a également permis d’écarter cette culpabilité permanente et ce manque de confiance en moi laissant place à la sérénité, l’honnêteté et la clarté. Je fais désormais en sorte que l’on s’adapte à moi.
Aujourd’hui, je suis chef de projet dans la même société, un poste avec plus de responsabilités, ce qui signifie que l’on me fait confiance et que mon travail est reconnu.
Ce sentiment de bien-être que je ressens aujourd’hui n’aurait pu voir le jour sans cette rencontre avec Isabelle. Je recommande vivement à toutes les personnes vivant ce mal-être de suivre cet accompagnement.»

Thierry, Chef de projet, 32 ans

« Je travaillais en tant qu'ingénieur pour un gros groupe. Le travail me plaisait, j’étais en cours de formation pour obtenir le statut d'expert en milieu d'année 2015. Sur le papier, tous les voyants étaient au vert.
Sur le papier uniquement. Je luttais en réalité continuellement contre le fonctionnement de l'entreprise et son mode hiérarchique pour pouvoir avancer et répondre à la demande de mes clients. Je faisais face à des incohérences, des contre-ordres, des contradictions régulières et un manque de confiance de la part de ma hiérarchie.
Usé par cette confrontation permanente, j'ai commencé par me sentir très fatigué, je rentrais chez moi le soir pour m'allonger et dormir. Je faisais des cauchemars et dormais très mal la nuit. Puis, la fatigue a laissé place aux crises d'angoisse. La peur de ne plus être à la hauteur au travail, mais aussi dans le cadre familial. Je redevenais comme un petit enfant à qui tout faisait peur. A ce stade, j'ai rapidement sombré dans la dépression. Mon médecin m'a arrêté pour une durée d'un mois. Mon premier réflexe a été de refuser car je sentais que cet arrêt serait un tournant dans ma vie professionnelle. Le lendemain, je suis reparti le voir car je ne pouvais plus tenir et il m'a mis sous anxiolytiques et antidépresseurs.
Cette période a été extrêmement dure pour moi. L'effet cumulé des médicaments, de la dépression, de l'arrêt forcé du travail ont été très difficiles à supporter. Ma femme se faisait beaucoup de soucis, mes collègues m'appelaient, inquiets ; mes parents, mes frères et soeurs étaient loin et ne pouvaient pas se rendre compte de mon état. Je me sentais seul, inutile et isolé avec ma douleur psychologique.

Mon premier réflexe a été de chercher de l'aide. Je me suis renseigné autour de moi pour savoir vers qui m'orienter. Je souhaitais arrêter de souffrir. Je me suis alors tourné vers l'AMP (Aide Médico Psychologique) qui me proposait de rencontrer d'abord une infirmière avant de consulter un psy. J'ai fais 2 séances là-bas, on m'a fait comprendre que cet endroit n'était pas pour moi et que le mieux était de m'orienter vers un psy privé. J'ai pris rendez-vous avec un psychiatre qui m'a expédié et expliqué que je souffrais d'un complexe de performance. A priori, je n'étais pas un cas suffisamment intéressant pour lui. Je souffrais toujours.
Finalement, mon médecin m'a orienté vers une psychothérapeute spécialisée dans l'aide au burn out. J'avais besoin de parler, d'exprimer ma souffrance auprès d'une personne neutre. J'étais totalement désorienté, perdu sans cap à tenir.
Au cours de ces séances, j'ai compris que je devais d'abord penser à moi, retrouver mes valeurs (honnêteté, curiosité, sociabilité...), mieux me connaître pour repartir sur des bases saines. Ce travail a duré environ un an. J'ai fait confiance à ma thérapeute, je me suis fait confiance et j'ai avancé pour me sentir de mieux en mieux. Au bout de 1 mois, je suis sorti des crises d'angoisse pour reprendre le travail. Au bout de 4 mois, je reprenais du recul sur mon boulot et commençais à envisager l'avenir. Au bout de 6 mois, je quittais mon travail pour un autre.
Depuis 6 mois, je travaille dans une boite qui me ressemble de part son management et son état d'esprit dynamique. Tout cela paraît parfait et c'est vrai, ça l'est. Mais tout ça, je suis allé le chercher, j'ai produit l'effort qu'il fallait pour sortir un peu plus fort qu'avant.
Aujourd'hui, je connais plus mes attentes, je m’écoute davantage, j'écoute mon corps, mon esprit. Je suis plus ouvert et tolérant envers les autres. Je suis plus conscient de mes capacités. Et j'apprends à me satisfaire de ce que j'ai.
Pour éviter les coups de stress, j'organise davantage mon temps et je m'accorde des temps de repos.
Finalement tout cela a été "un mal pour un bien" car j'ai appris beaucoup de choses sur moi. Mieux je me connais, mieux je me sens et plus je suis capable de décider du cap à tenir. Pour ceux qui sont en situation d'épuisement professionnel, je conseillerai de chercher de l'aide et de ne pas s'isoler. C'est à la fois une phase d'extrême souffrance, mais aussi une formidable opportunité de rebondir. Rien n'est figé, il faut seulement se donner les moyens de changer de vision et d'état d'esprit. »
Patrick, Manager, 34 ans

« J’ai fait un burn-out il y 3 ans.
Étant de nature dynamique, joyeuse, souriante, pleine de vie, drôle aussi, j’ai pris ce burn-out en pleine tête. Je pensais que cela passerait avec le temps, et que j’étais assez forte pour résoudre ce problème toute seule… Malheureusement, non !
Quand j’ai vu mon médecin pour une « simple gastro », j’ai explosé en sanglots devant lui … Je me doutais bien qu’il y avait autre chose à ce moment précis… et donc que mon passé n’était pas entièrement résolu.
A ce moment là, je me sentais anxieuse et stressée. J’avais des frissons et mal au ventre…Un sentiment de mal être et de fragilité émotionnelle. Mon médecin m’a alors dit que mon burn-out n’avait pas été traité correctement, voire pas du tout… Il m’a alors dirigée vers Isabelle Gabas. Le plus dur a été de prendre rendez-vous… et d’accepter ce mal être, ce que j’ai fini par faire, ayant pris conscience de mon état.
Sur le plan professionnel, je venais de terminer mon contrat de travail…donc j’étais dans le « flou artistique » pour une reconversion éventuelle. Sur le plan personnel, mon entourage a vite compris que je n’étais pas bien… J’étais très souvent stressée, angoissée et anxieuse. Dès que l’organisation de mon quotidien était un peu chamboulée, j’étais perdue.
Lors des premiers rendez-vous avec Isabelle, je savais que j’avais des choses à exprimer, mais j’étais incapable de trouver les mots adéquats. Elle m’a beaucoup aidée à mettre des mots « justes » sur mes sentiments et sur mes ressentis. J’ai essayé tout au long de cet accompagnement de mettre en place les valeurs qui ressortaient au cours des séances. J’ai voulu mettre toutes les chances de mon côté pour y arriver et régler ce mal-être une bonne fois pour toute!
Je voulais aider tout le monde, je ne savais pas dire « non », je n’avais pas confiance en moi, je me déstabilisais facilement, je n’avais pas l’impression d’être reconnue. J’ai appris à prendre soin de moi, à me poser et à voir la vie sous un autre angle. J’ai appris que j’étais quelqu’un de sensible, de libre, que j’avais de la générosité, du dynamisme, de la combativité, de la puissance, l’envie d’aller de l’avant.

Aujourd’hui, j’ai le sentiment de revivre, d’être libérée de toutes ces choses qui me tracassaient. J’ai l’impression d’avoir rempli un vase de douleurs, de l’avoir laissé derrière moi… et d’avoir clarifié tous mes sentiments enfouis. Ma vie personnelle est plus riche car je m’occupe de moi, de ma famille, de mon entourage proche, mais sans complication. Je me sens aimée.
Ma vie professionnelle est enrichissante. Je suis utile pour les autres et mon travail est reconnu…J’ai changé ma façon de voir les choses et j’avance à mon rythme. Je suis plus posée, je sais dire « non » aux autres simplement, je sais répondre avec assurance, sans hésiter ni paniquer. Je sais m’affirmer et je sais relativiser. Je suis plus sereine dans mon quotidien, j’ai confiance en moi, et je me respecte.
Évidemment, je recommande fortement ce type d’accompagnement et je remercie Isabelle Gabas pour son aide et son écoute.
»

Marie, Assistante administrative en libéral, 35 ans

« Après quelques mois de réflexion, et suite à un « burn out » au printemps 2013, j’ai pris la décision de rencontrer Isabelle Gabas sans savoir, au préalable, ce que cela allait m’apporter.
Je sentais au fond de moi que je n’allais pas bien, que j’avais un problème sans réussir vraiment à en connaître les raisons et surtout, en me culpabilisant. Je me sentais responsable de tellement de choses, je voulais tellement qu’autour de moi tout le monde soit bien, que tout le monde m’apprécie….  Et Isabelle m’a posé une question : « quelles sont pour vous les personnes qui comptent le plus » ? J’ai bien sûr répondu (classiquement !) mon fils, mon mari, mes parents…. Isabelle m’a demandé « et puis… ». Silence…. Et sa réponse a été : « Et vous ? ».
Et effectivement, je me suis oubliée, je n’ai pas pensé à moi. Première prise de conscience : penser à soi, ce n’est pas de l’égoïsme, au contraire – Penser à soi c’est justement l’essentiel : si je suis bien, si je m’occupe de moi, les autres seront bien aussi. Une phrase que je me répète souvent, encore aujourd’hui : « le plus important, c’est moi » et je peux vous confirmer que cela fonctionne.
A vouloir tout absorber, on se fait absorber soi-même, on rumine, on est malheureux et on s’écroule. Et on se sent tellement seul.
Ces échanges avec Isabelle m’ont permis de dire et de faire sortir des choses que j’avais ancrées au fond de moi depuis des années; certaines m’ont fait mal, m’ont fait pleurer car, en fait, je voulais rendre tout le monde heureux autour de moi… mais les retours n’étaient pas toujours à la hauteur de ce que j’étais certaine d’avoir donné, d’où ce profond malaise et mal être (bien qu’étant d’un tempérament optimiste et positif).
Aujourd’hui, je ne fais plus « l’éponge », je fais les choses sans systématiquement me demander ce que l’autre va penser : je les fais pour moi d’abord. Et force est de constater qu’en ce qui me concerne, cela fonctionne, tant dans le cadre de la vie privée que de la vie professionnelle.
Pour conclure, il faut savoir donner pour recevoir, mais pas n’importe comment. Savoir dire non, en expliquant les raisons, ce n’est pas un échec, ce n’est pas un renoncement : c’est au contraire une force et tout le monde l’entend si le refus est bien motivé. »
Catherine, Chargée de clientèle, 53 ans

« Après un grave accident de scooter à l'âge de 15 ans, j’ai eu un traumatisme crânien. Je m'en suis très bien sortie, mais j'ai conservé des séquelles psychologiques et je reste à la limite de l'hyperactivité.
Je suis arrivée sur Bordeaux précipitamment en 2013, après une lourde épreuve. Je ne faisais que pleurer....
4 mois après ma prise de poste, mon N+1, auquel je m'étais beaucoup attachée, m'a annoncé son départ pour cause de maladie. Je me suis retrouvée seule en direct avec mon N+2 et cela a été très difficile. J’étais fragile, très sensible et mon entourage ne me respectait pas. J'étais dans une spirale descendante jusqu’au jour où, après avoir vu de nombreux psychologues et coachs, une amie proche m'a conseillée d'aller rencontrer Mme Gabas. Je me sentais très mal, mais sans savoir pourquoi!
Je n’avais pas confiance en moi, j’étais dans une grande fragilité émotionnelle de façon assez cyclique et excessive : soit très joyeuse et enthousiaste, soit déprimée et triste. Cela avait un impact sur mon efficacité et sur mes proches.
Lors de cet accompagnement, le déclic déterminant a été le fait de parvenir à parler, après avoir passé des séances à pleurer. Les bonnes questions et réflexions engagées par Isabelle Gabas m'ont beaucoup aidée!
Avec son aide, j'ai appris à parler et à mettre des mots sur mes ressentis. Comme si j'avais enfoui au fond de moi toutes mes émotions sans pouvoir les exprimer !
Au cours des premières séances, j’étais en larmes et il m'était impossible de parler de moi. Puis, j'ai beaucoup appris sur moi, surtout à me respecter pour me faire respecter, à m'aimer pour me faire aimer, à prendre soin de moi et à me fixer des limites. Mes valeurs humanisme et travail sont ressorties.
Aujourd’hui, je suis beaucoup plus sereine dans ma vie de tous les jours et j'ai confiance en moi. Je me sens beaucoup mieux et plus forte. Je me fais respecter en tant que femme et également sur le plan professionnel. Je suis donc plus efficace et j'ai appris à dire « non », « oui, mais » et pas « oui » à tout ! J'ai pris un poste de chef de projet auprès d'un DG, mon travail a été reconnu. Je suis respectée pour ce que je suis et ce que je fais. Mon réseau professionnel a pu voir mon évolution et plusieurs personnes se sont rapprochées de moi!
Je mets mes valeurs au centre de mon travail. J'arrive à me fixer des limites, à remettre du sens sur ce que je fais et pourquoi je le fais. J'ai retrouvé du plaisir à aller travailler.
Le sens de mon travail est l'intérêt général, j’ai envie d'œuvrer non pas pour me faire mal, mais pour trouver du plaisir dans mes activités. J'ai remis l'humain au centre de tout. J'ai également repris mes études, car j'ai identifié qu’apprendre était important pour moi!
On n'a rien sans rien et si on veut quelque chose, on peut l’obtenir en s'en donnant les moyens. Je ne pensais pas que je pouvais passer plus d'un mois sans pleurer et désormais, c'est possible!
Cet accompagnement est un véritable appui qui m’a permis de clarifier mes bases, mes fondations, dont entre autres, mon sens du relationnel !
Je recommande ce type d'accompagnement à des collègues en souffrance. D'ailleurs, je pense qu'on devrait tous faire ce type de démarche individuelle, prise dans le cadre d’un CIF ou sur le compte formation. Il est indispensable de savoir qui on est, de reconnaître ses faiblesses, mais aussi d’identifier ses forces pour aborder la vie,  pour prendre confiance en soi, pour pouvoir se vendre et être performant au travail. »

Camille, Chargée de mission, 36 ans

« En fin de compte, tout me semblait insurmontable, je n'avais plus de solutions. J'avais le sentiment d'être submergé, d'être noyé sous un trop plein d'informations à tel point que je me levais en pleine nuit pour en noter quelques unes et tenter d'alléger mon cerveau en ébullition. J'avais souvent des vertiges, j'étais énervé, agressif, stressé, je me mettais une pression énorme parce que je voulais être tout le temps dans le contrôle : je voulais faire plaisir à tout le monde. En réalité, je m'oubliais moi-même. J'étais arrivé au bout d'un système, au bout de moi-même.
Avant, pour moi, garder le contrôle, c'était être intelligent. Aujourd'hui, j'ai moins le contrôle, je lâche prise et mon entreprise fonctionne mieux parce que je suis plus serein. Je suis plus libre, je suis moi-même. J'ai compris que si je vais bien, mes collaborateurs vont bien.
Je pensais avoir digéré mon traumatisme, je pensais avoir tout analysé tout seul, je considérais que c'était une affaire réglée, enterrée. La réaction émotionnelle que j'avais en l'évoquant me prouvait le contraire.
Grâce au travail que j'ai effectué, je me suis libéré d'un poids et j'ai pris un nouveau départ. J'ai changé : je suis plus réfléchi, plus calme, je me remets en question, j'avance plus doucement et je prends du recul. Il est impossible de gérer tout, tout seul.
Pourtant, je n'avais pas envie d'aller voir une psychothérapeute, pour moi, c'était faire un aveu de faiblesse. Mais à travers les questions posées, j'ai été amené à trouver mes réponses sans jamais me sentir jugé. J'ai pu partager ce que je ressentais et j'ai compris l'importance d'être écouté.
Mes relations avec ma femme, ma fille et mes proches se sont améliorées, j'ai pris conscience de ma sensibilité.
Aujourd'hui, je suis heureux et je me félicite d'avoir fait cette démarche qui m'a permis de me découvrir et de savoir qui je suis. Je vis un renouveau. »

Jérôme, Dirigeant d'une entreprise de 50 salariés, 32 ans

« Cela faisait 7 ans que j’étais dans la même entreprise. Au début, tout allait bien, puis au fil des années avec un changement de direction, les conditions de travail se sont détériorées de façon gravissime : problèmes de salaire, de reconnaissance et la réponse à chaque revendication : « la porte est grande ouverte… ».
Je tentais de me convaincre que j’étais forte et capable de surmonter cela, mais mon corps a parlé.
J’ai commencé à avoir des migraines à répétitions de plus en plus fortes, des insomnies. Mon médecin m’a alerté plusieurs fois, mais j’étais dans le déni et je ne voulais pas m’arrêter. Jusqu’au jour où j’ai fait des malaises sur mon lieu de travail et j’ai été convoquée à la médecine du travail. Elle m’a ordonnée de m’arrêter : j’avais 9 de tension, de l’eczéma sur le visage et toujours ces migraines.

Sur les conseils de mon médecin, je suis allée voir Isabelle. Je pensais m’arrêter juste le temps de me reposer et de retrouver la forme. Grâce à Isabelle, j’ai repris ma vie professionnelle en main. J’ai réalisé un bilan de compétences et au fil des séances avec Isabelle, ma reconversion professionnelle a été une évidence. Je m’installe à mon compte en tant que formatrice !
Aujourd’hui, je recommande Isabelle à toutes les personnes de mon entourage car elle m’a aidée psychologiquement grâce à la thérapie narrative.  Elle m’a redonné confiance en moi, en mes compétences et je me suis retrouvée : énergique, volontaire et confiante. »
Marie, Cadre Commerciale, 33 ans

« Ingénieur de formation j'ai toujours évolué dans des milieux professionnels exigeants. De nature enthousiaste et pleine d'énergie, je me suis toujours investie dans les différentes missions qui m'ont été confiées, ne sachant pas toujours comment dire non sans perdre la reconnaissance que j'avais pu acquérir jusque là.  Ces derniers mois, fragilisée par d'importants problèmes personnels, je me suis encore plus investie dans mon travail, cherchant à obtenir encore plus de reconnaissance. Mon travail était devenu pour moi le seul moyen de me sentir utile et de pouvoir m'affirmer.
Il était également une échappatoire indispensable pour me permettre d'oublier mes problèmes personnels.
Je suis alors devenue addict et je me souviens d'ailleurs avoir ressenti cette addiction, qui d'un côté m'inquiétait, mais qui d'un autre côté me rassurait (sans cette béquille, j'avais la sensation que je m'effondrerais).
Et puis petit à petit, je suis rentrée dans une spirale infernale, je me couchais à 2 heures du matin, me levait à 6h30 et j'abattais encore plus de travail. Ce rythme de fou me donnait la sensation d'être invincible et j'y trouvais donc un certain plaisir.
Et pourtant j'étais en quelque sorte devenue une sorte de robot.
Puis, certains symptômes ont commencé à se manifester : je me réveillais en pleine nuit, angoissée, avec mal partout (au dos, à la nuque, au ventre, …) et je me mettais à pleurer me disant que je ne pouvais pas continuer comme ça, qu'il fallait que j'aille voir un médecin car sinon cela finirait mal.
Pendant la journée, même si j'étais beaucoup plus à fleur de peau, que je me sentais souvent agressée voire harcelée par l'extérieur, j'avais l'impression que tout allait bien car j'étais dans l'action et j'avais donc la sensation de maîtriser. Et pourtant j'étais en train de me consumer de l'intérieur. Je le ressentais la nuit, mais luttait contre le jour.
Je ne voyais aucune solution possible jusqu'au jour où j'ai réussi à en parler avec Isabelle.
Le fait qu'elle m'écoute sans me juger, qu'elle accueille mes émotions, y compris celle de colère, de tristesse (qui sont difficilement acceptables en entreprise) et qu'elle soit capable de comprendre la culpabilité que je ressentais, m'ont permis de lâcher prise.
J'ai alors fait confiance à son professionnalisme car elle avait réussi à percevoir et à s'intéresser, non pas au robot que j'étais devenue, mais bien à la personne qui se cachait derrière ça.
Grâce à ses explications, à sa sensibilisation et à l'intérêt qu'elle m'a porté, j'ai décidé d'aller voir mon médecin et de lui exposer tout ce que j'avais pu lui livrer jusque là et que j'avais réussi, grâce à elle, à accepter.
Arrêtée plusieurs mois, je n'ai pas culpabilisé, car grâce au travail réalisé avec Isabelle et mon médecin généraliste, j'avais compris que je ne pourrai pas aller plus loin si je ne prenais pas le temps de m'arrêter et de me reconstruire.

Je me suis souvent demandée pourquoi, alors même que je suis une personne réfléchie, je n'avais pas réussi à sortir seule de cette impasse.
Aujourd'hui, je sais qu'avoir l'occasion de se reconsidérer dans un environnement bienveillant et non jugeant, grâce à une personne qui n'est là que pour vous aider à y voir plus clair sur vous-même, est une chance inouïe et probablement indispensable pour pouvoir être équilibrée et en phase avec ses propres valeurs.
Je suis aujourd'hui fière d'avoir réussi à sortir de cette impasse, d'avoir rencontré les bonnes personnes pour m'accompagner dans ce chemin et je me sens désormais beaucoup plus forte, car plus respectueuse de mes propres limites et surtout de mes valeurs.
»

Pauline, Cadre Commercial, 42 ans

« Suite à un licenciement et à la perte de mon père 2 mois plus tard, des piliers essentiels de ma vie étaient partis…je n’avais plus de points de repères !
Je me sentais anéantie professionnellement et personnellement avec un grand déséquilibre au plus profond de moi : je n’arrivais plus à trouver mes mots, tout s’embrouillait dans mon esprit…bref, je ne me reconnaissais plus !
L’accompagnement d’Isabelle a eu un impact très positif avec une reprise progressive de confiance en moi. J’ai compris qu’il fallait que je m’occupe bien de moi afin de pouvoir avancer dans ma vie et vers les autres.
Du coup, mes relations avec mon entourage personnel se sont améliorées ainsi que ma nouvelle vie professionnelle. J’ai retrouvé les « forces » que j’avais perdues à tous les niveaux !
Je ne peux que recommander cet accompagnement et ces rencontres avec elle ! »
Catherine, Formatrice en médico social, 53 ans

« Ma rencontre avec Isabelle GABAS a été déterminante à un moment de ma vie où je me sentais particulièrement vulnérable et sous emprise de mon supérieur hiérarchique.
Le travail qu’elle a conduit avec moi m’a permis de revisiter mes croyances, d’identifier mes compétences, de mettre à l’honneur mes valeurs, mes espoirs et mes rêves, de les légitimer, d’effectuer une conversion du regard, notamment concernant mon rapport au travail et plus largement par rapport à ma vie et à mes projets.
De semaine en semaine, j’ai arrêté de me confondre avec ma peur, j’ai ouvert mes yeux et mon cœur à d’autres possibles, élargi mon champ de conscience.
J’ai commencé reconnaître mes compétences, mon savoir-faire, à me reconnaître.
J’ai appris avec Isabelle à ÊTRE avec mon originalité, en toute liberté.
Je garde d’elle sa belle énergie, sa bienveillance, son regard direct et son rire, son ouverture à ce qui nous dépasse, et son professionnalisme.
Pendant tout le temps du soin thérapeutique, je me suis sentie accueillie, soutenue, guidée, et j’ai beaucoup appris.
Si j’en ressentais à nouveau le besoin, je retournerais voir Isabelle, et je la recommande en toute confiance à toute personne en difficulté dans sa vie personnelle et / ou professionnelle.»

Aurelle, Relations humaines, 52 ans

« Isabelle m’a été recommandée par une amie et je l’ai d’abord contactée pour mon fils, mais j’ai très rapidement réalisé que c’est surtout moi qui étais au bout du rouleau et qui avais besoin d’un accompagnement. Après une séparation difficile, des blessures non traitées, la garde des enfants au quotidien et un grand brouillard au niveau professionnel, j’avais vraiment besoin de me reconstruire et d’y voir plus clair.
Grâce à la pratique narrative, les « problèmes » ont été abordés sous un angle nouveau pour moi, en prenant de la hauteur, ce qui m’a semblé intéressant et d’un certaine façon, plus « léger ».
Mais c’est surtout que pour la première fois, j’ai vraiment eu le sentiment de tomber sur une thérapeute bienveillante et attentive, qui me captait dans toute ma dimension, j’étais enfin au bon endroit. J’ai commencé par retrouver le sourire, je suis devenue complètement actrice de cette thérapie chaque semaine pendant un an et je suis progressivement sortie de ma coquille. Puis j’ai eu envie d’oser faire des choses dont je ne me croyais pas capable, comme reprendre des études, passer un concours avec pour objectif d’obtenir un diplôme et de travailler avec des enfants en secteur hospitalier. Je n’avais jusqu’alors, jamais réussi à me positionner, à savoir où je voulais aller…Cette thérapie m’a permis de me révéler véritablement, de l’assumer surtout et m’a appris à donner du sens aux événements qu’ils soient positifs ou qu’ils semblent négatifs.
J’ai à mon tour recommandé Isabelle à des personnes qui, comme moi, étaient à bout et dans le brouillard.»

Julie,  En reconversion professionnelle, 35 ans

« Avant de commencer cette psychothérapie avec Isabelle GABAS, je souffrais d'une maladie orpheline invalidante depuis un an. Les médecins ne trouvant pas de solution, émettaient l'hypothèse d'une composante psychologique à cette maladie. Désesperée devant l'absence de solution médicale, je décidai d'entreprendre ce travail thérapeutique pour me débarasser de cette maladie, si c'était vraiment de cet ordre.
Cette absence de solution médicale me rendait nerveuse, angoissée, hypertendue. J'avais entre temps utilisé d'autres médecines parallèles (guérisseurs, acupuncture..), sans résultats.
Chaque séance thérapeutique me transformait sur le plan moral. En effet, j'arrivais dans un état désespéré et petit à petit les échanges verbaux avec la thérapeute me redonnaient espoir. Je repartais détendue, ressourcée comme ayant oublié pendant quelque temps la maladie. Je reprenais confiance.
Elle écoutait mes souffrances, savait les recevoir et transformer ce qui était négatif. Elle savait aussi repérer et capter ce qui était positif, le mettre en valeur à mon étonnement souvent. Cela me surprenait, me confortait, me ressourçait. Durant ce travail, j'ai appris à repérer ma tendance à dramatiser et vu par quel mécanisme faire basculer cette tendance négative vers du positif.
Cette mise en évidence et mise en valeur des cotés positifs me rassuraient. La maladie m'avait affaiblie moralement et déstabilisée ainsi que le manque de réponses médicales. Ma tendance à me dévaloriser était alors augmentée et ce travail thérapeutique m'étonnait, me redonnait du tonus.
Quelques temps plus tard, les problèmes médicaux les plus gênants ont disparu; il restait quelques traits encore négatifs que j'ai appris à défocaliser.
Le plus grand changement que j'ai observé, est cette nouvelle possibilité acquise de repérer ,- quand ça ne va pas-, de faire basculer le negatif vers du positif.
Ce que je retiens de cette expérience, c'est qu'il est possible dans le désarroi de savoir retrouver soi-meme le bon chemin; ce qui demande de l'entrainement.
Je recommanderai à toute personne dans le mal-vivre, ce travail thérapeutique qui réconforte, aide à se reconstruire et à se sécuriser. »

Huguette, Retraitée de l'Éducation nationale, 70 ans

« Étant en proie à un mal être constant et avec un passé très lourd à porter, mon chemin à croisé (certainement pas par hasard), celui d'Isabelle.
Cela à été dur pour moi de lui faire part de ce poids que je portais, mais je sentais au fond de moi que je pouvais lui faire vraiment confiance, et les difficultés que je vivais au quotidien ne pouvaient plus durer...j'étais asphyxiée.
J'ai pris conscience de mon manque de confiance en moi et d'estime de moi, je ne prenais pas soin de moi, je n'étais pas bien avec moi même.
Au fil de nos rendez-vous, j'ai appris à me connaître, à comprendre mes croyances, quelles étaient mes valeurs et ma conception du monde. J'ai appris à m'écouter.
J'ai appris à me débarasser de mon passé pour renaître à moi même, à m'alleger affectivement, à exprimer et à dire ce que je suis vraiment, et ceci sans crainte d'être jugée ou rejetée.
Isabelle n'a jamais porté aucun jugement, elle à toujours été d'une écoute sincère et rassurante, elle à su me guider sur la voie qui était bien la mienne.
Lorsque je traverse certaines difficultés de la vie, je repense à ses conseils, à ses encouragements qui m'ont emplie d'une force solide.
Elle m'a permis d'évoluer en très peu de temps. C'est pourquoi je recommanderais ses talents à toute personne qui ressent un profond mal-être ou qui traverse une quelconque difficulté, car se faire épauler par une personne authentique, simple, intègre et compétente est un réel pas vers la guérison. »

Nadège, Auxiliaire de vie, 39 ans

« Le décès de mon beau père il y a 2 ans a enclenché une multitude de questions sur mon enfance, ma relation à ma mère, etc. Je me sentais triste, seule, avec sentiment de grand vide profond, comme si je n'étais rien, comme si j'étais un robot programmé pour être polie, gentille, parfaite.
J’avais le sentiment de ne pas être reconnue dans mon travail, de donner encore et toujours, sans que ça se remarque ou de subir des reproches.
J’avais l’impression d’être incomprise, d'être une extra terrestre d'être tellement différente que je me demandais si j'avais un problème… Je me remettais continuellement en question pour savoir qui j'étais… L’avenir me rendait anxieuse et le passé avait un goût amer… Je me réveillais en pleine nuit, je cogitais avec des souvenirs tragiques et je ne savais pas quoi en faire… J’avais de la haine pour ma famille, pour ma direction, pour les gens. Je me demandais le matin : « Pourquoi tu retournes au boulot ? Arrête d'en faire trop ! » J'y allais, mais j’en faisais encore plus.
Je ne trouvais pas de sens à ce que je faisais ou alors les tâches m'ennuyaient.
Je pouvais être agressive avec mon compagnon ou il me voyait triste ; de ce fait, il était mal et ça me faisait culpabiliser… J’étais rongée en permanence par le doute.
Grâce à cet accompagnement, je me suis écoutée et j'ai affronté mes peurs. Je me suis sentie en confiance, dans un climat bienveillant. J’ai écouté les signes de mon corps. J’ai réalisé que j'avais le droit moi aussi d'être bien dans ma vie. J’ai compris qui j’étais et j’en ai eu la confirmation. J’ai découvert que j’avais de belles valeurs (le pouvoir immense de l'amour, la bienveillance, la sérénité, le partage, la confiance) et que je pouvais être certaine de ma réorientation professionnelle, qu’elle me correspondait, que je pouvais l'assumer ! Cela m’a fait énormément de bien ! Je me suis débarrassée petit à petit de mes doutes et j'ai entamé en même temps un bilan de compétences pour optimiser mes chances. C'est en prenant en considération toutes les belles choses qui nous entourent, en les gardant près de nous et en avançant avec elles qu'on voit le bout du tunnel.
Je suis sortie peu à peu du monde du médico-social pour aller vers un monde qui me correspond beaucoup plus, comme si la boucle était bouclée et que je puisse passer à autre chose .
Au quotidien, cela permet d'être en confiance. Il y a toujours du positif dans une souffrance, c'est là qu'on voit nos valeurs. Et assumer ses valeurs, c'est se redonner confiance. Je me suis dit que j'étais quelqu'un de bien … Je crois en l'avenir et je me dis que tout est possible ! Je vois le positif et j’avance avec ce positif. J’ose également m'affirmer un peu plus face à ma famille.
Je ne pouvais pas rêver mieux comme accompagnement : il m’a encore plus ouvert l'esprit sur l'humain, la vie et il englobe la totalité de la personne. Je souhaite à toutes les personnes qui se sentent "perdues" de rencontrer Isabelle Gabas !" C’est une personne bienveillante avec de l’humour. Ce n'est pas une thérapeute qui ne fait QUE écouter...elle est plus que ça...Elle a une pratique sérieuse et elle est d'une richesse incroyable ! Elle fait partie des personnes qu'on aimerait rencontrer au moins une fois dans sa vie... »

Jade, Aide-soignante, 28 ans

« Je me sentais mal, en déséquilibre avec mon environnement, sourde, aveugle des belles choses de la vie, mais aussi maladroite, fragile, inquiète, stressée, avec la peur au ventre et un manque de confiance en moi et ça, ce n’était pas possible. Mon corps se sentait mal, comme malade à l’intérieur, c’était terrible!
J’étais fermée, hermétique aux échanges avec les autres. Je n’avais plus envie de rien. Ce mal-être était là, bien là, je ne me reconnaissais plus. Alors, quand vous avez mal quelque part, il faut réagir vite, chercher une aide pour guérir et Isabelle est arrivée avec ses questions : vraies, profondes, simples qui amènent à réfléchir sur votre personne, pardon sur votre belle personne !
Un mot a émergé, c’était : «Moi». Je pense à moi beaucoup plus souvent et un peu moins aux autres ! Je dirais que c’est la solution car paradoxalement, cela rapproche. J’ai appris que le plus important c’est le «vous pour vous» et/ou le «moi pour moi» et là, j’ai remarqué que les autres sont assez réceptifs, ils se rapprochent de vous et vous disent doucement et sincèrement «Tu es une belle personne» - surprenant non !? (je le vis souvent et c’est très agréable!)
Il s’est donc installé dans ma vie personnelle et professionnelle comme une vérité, des valeurs essentielles qui m’apportent un équilibre et ça change tout ; des tas de portes et fenêtres s’ouvrent et là, je vois des choses incroyables, je vois «la beauté du monde».
Aujourd’hui, j’ai l’envie de faire plus de choses, d’accepter la vie, d’accompagner et de soutenir les personnes que j’aime, de construire. Ça devient facile et très agréable, et puis les idées fusionnent, il n’y a plus qu’à prendre la bonne décision !
Cet accompagnement était vraiment nécessaire et je le recommanderais sans hésitation à toute personne en difficulté, qu’elle soit personnelle ou professionnelle. »
Sylvie, Assistante de direction, 50 ans

« Dans l'attente d'une convocation par ma hiérarchie, j'ai demandé un coaching car je craignais de ne pas pouvoir gérer mes émotions, de me mettre en colère ou d'éclater en sanglots.(...) En m'autorisant à pleurer, accompagnée avec bienveillance et non jugement, j'ai pu trouver ce qui m'était insupportable dans les exigences de ma hiérarchie (...). J'ai aussi compris que pleurer devant témoin n'était pas une honte et que montrer éventuellement mes émotions durant le futur entretien ne me faisait plus peur.
Je n'ai finalement pas été convoquée comme prévu.(...) Mais j'ai pu vérifier l'efficacité de mes séances de coaching au cours d'une rencontre pédagogique avec de nombreux collègues et plusieurs conseillers chargés de nous former. J'ai formulé ce que je pensais calmement, en maîtrisant mes émotions,(...) j'ai pu constater avec plaisir que j'ai été écoutée et un débat bien intéressant s'en est suivi.
Je remercie Isabelle Gabas pour son écoute, la finesse de ses questions et sa bienveillance qui m'ont permis de développer ma pensée et de gérer mes émotions. Je ne doute pas que ce travail m'aidera dans des circonstances futures, lorsque je souhaiterai exprimer mon point de vue devant des personnes d'avis différent par exemple. »

Coline, Enseignante, 57 ans

« Nos échanges ont été fluides et faciles. Isabelle, par ses questions, m'a permis de mettre en évidence des stratégies et surtout des attitudes à adapter et à développer dans l'avenir. J'ai réalisé également que l'on ne pouvait pas TOUT et qu'il fallait l'accepter. Ce coaching m'a permis de me repositionner positivement par rapport à mon parcours professionnel.
Isabelle a été présente, professionnelle et sa bienveillance à mon égard m'a permis de m'interroger sur ma propre bienveillance à l'égard des autres et de moi-même.
»

Jeanne, Cadre commercial, 51 ans

« Face à un problème qui saturait ma vie personnelle depuis longtemps, Isabelle a fait preuve d'une écoute attentive et m'a posé des questions ciblées et subtiles qui m'ont permis de réellement "avancer".
J'ai toute confiance en Isabelle, qui est une professionnelle passionnée par son métier. Je la recommande donc vivement. »

Ange, Coach-Consultant, 44 ans

« La rencontre avec Isabelle et les séances de coaching qui ont suivi me donnent une opportunité de témoigner des étonnements qui ont jalonné ce parcours.
Grâce à son écoute et son questionnement profond, être en capacité  de formuler des problématiques professionnelles alors qu’elles étaient floues auparavant, c’est étonnant.
Par ses reformulations efficaces et structurantes, c’est tout un horizon qui prend sens  et c’est étonnant.
Par sa présence exceptionnelle bien que délicate et discrète, trouver soi-même le chemin des solutions  presque comme une évidence, c’est étonnant.
Et sans doute, sa qualité majeure (et presque magique) est de donner confiance et de sécuriser sans pour cela être maternante et ça aussi c’est étonnant.
C’est, pour moi, toutes ses subtilités qui donnent de la force à son intervention et qui caractérisent sa compétence. »

Gabrielle, Chargée de Mission dans le secteur de la Formation Professionnelle, 55 ans

« Ce que j’ai trouvé dès le premier entretien avec Isabelle, c’est avant tout une vraie écoute, pas de jugement, un accueil inconditionnel de mes états d'âme.
Ces interventions ont eu un effet de libération, de déculpabilisation et sans aucun doute ont amorcé, dès la première séance, ma guérison. J’ai ressenti, par rapport à ma problématique, un soulagement immédiat tant psychique que physique.
Dorénavant, je n’attendrai plus et sais que je peux trouver un lieu et une personne à qui présenter tout type de problématique.
Merci Isabelle. »

Jade, Formatrice, 47 ans